28 novembre 2006
Quand les fantômes...
Il y a quelques jours, je pensais à toi, je mesurais le manque. Et aujourd'hui, j'apprends par une bouche bienveillante (?) que tu t'es marié.
Bizarrement, la brèche s'est ouverte. Violemment. N'écoutant que la colère, le désarroi, j'ai saisi mon téléphone pour faire l'une de ces choses qui ne m'appartiennent pas (enfin, je me plais à le croire). Je t'ai envoyé un message pour te souhaiter beaucoup de bonheur.
Le pire, c'est que ce bonheur, je te le souhaite. L'insupportable c'est d'être rayée de la vie d'une personne qui a trop compté. Qu'il n'y ait plus suffisamment de choses (de sentiments ? d'amitié ?) pour que tu me l'annonces en direct, plutot que de passer par un intermédiaire.
Je te souhaite ce bonheur, cet enfant.... Vraiment.
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